Agissez maintenant
Par des activités de renforcement de la capacité, ce projet crée une plus forte sensibilisation vis-à-vis de la Convention relative aux droits des personnes handicapées (CDPH), du Protocole facultatif (PF) et des mécanismes canadiens destinés à remédier à la discrimination subie par les personnes en situation de handicap. Lire la suite.
Inscrivez-vous à Cette Voix qui est la nôtre
Un bulletin du CCD.
Flagrant mépris de la Loi sur l'aide médicale à mourir : Le Conseil des Canadiens avec déficiences est alarmé !
Documents connexes
29 janvier 2021
Des experts des Nations Unies condamnent l'attribution de l'aide médicale à mourir aux personnes handicapées n'étant pas en fin de vie, et de ce fait, le Canada n'est plus un leader international en matière de droits de la personne.
15 juin 2016
Avis aux médias : Forum communautaire pour des mesures de sauvegarde robustes dans le projet de loi C-14 - Jeudi 16 juin 2016
15 avril 2016
Le Projet de loi C-14 : trop timide en matière de protection des Canadiens vulnérables
Pour distribution immediate | 28 juillet 2017
« Le Conseil des Canadiens avec déficiences est profondément choqué et consterné par une nouvelle de Terre-Neuve et il exhorte les personnes en situation de handicap et leurs partisans à se prononcer sur les enjeux inhérents à ce cas, a déclaré la présidente Jewelles Smith. » En effet, en novembre dernier, un médecin a proposé à Sheila Elson de lui fournir l’aide médicale à mourir (AMàM) pour sa fille atteinte de spina bifida et de paralysie cérébrale. À l’époque, la jeune Candace Lewis, âgée de 25 ans, était en phase terminale. Elle a récupéré depuis!
« À l’instar de la Coalition of Persons with Disabilities in Newfoundland, le CCD est alarmé par cette affaire qui démontre le peu de valeur accordé par un professionnel de la santé à une personne handicapée et son flagrant mépris des procédures d’application de la Loi sur l’aide médicale à mourir, a souligné Rhonda Wiebe, coprésidente du Comité d ‘éthique en fin de vie du CCD. La Loi stipule clairement que l’aide médicale à mourir doit être volontairement demandée par une personne, en son propre nom et non au nom d’autrui. La suggestion ne peut provenir du médecin ; elle doit émaner du patient afin de prévenir toute influence abusive et toute coercition. Cette situation met en exergue les inquiétudes des défenseurs des personnes handicapées quant à la détermination « du problème de santé grave et irrémédiable », puisque Candace Lewis, la jeune femme au centre de cette affaire, a depuis récupéré. »
-30-
Pour plus d’informations contacter:
James Hicks, coordonnateur national
Conseil des Canadiens avec déficiences
james@ccdonline.ca.
Tracy Latimer